Le saviez-vous ?
Le fait de garder la colère pendant longtemps et de ne pas l'évacuer peut amener des marqueurs inflammatoires à déclencher l'apparition de cellules cancéreuses dans la région intestinale.
Il est prouvé que la colère refoulée peut être un précurseur du développement d'un cancer et un facteur de progression après le diagnostic.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11037954/
Les résultats suggèrent que le contrôle de la colère et l'affect négatif ne sont pas associés au risque de cancer du sein, de mélanome ou de cancer total, bien qu'ils puissent jouer un petit rôle dans le risque de cancer de la prostate, de cancer colorectal et de cancer du poumon.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17766690/
D'un point de vue positif, une plus grande positivité s'est avérée associée à des marqueurs pro- et anti-inflammatoires plus faibles, ce qui suggère une charge inflammatoire globale plus faible.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33130406/
Comme tout le monde est un peu différent et que nous ne pouvons pas tester facilement l'accumulation de colère et l'intensité de la raison de la colère, les résultats peuvent aussi varier d'une personne à l'autre. Dans l'ensemble, il est préférable d'évacuer la colère et de ne pas garder de rancune dans son cœur.
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