dimanche 25 mars 2018

LA SUÈDE, CAPITALE DU VIOL DE L’EUROPE.

LA SUÈDE, CAPITALE DU VIOL DE L’EUROPE.



Vidéo choc : la Suède, capitale du viol de l’Europe, témoignage d’un journaliste
Pour tout savoir des bienfaits de l’immigration musulmane en Suède, à montrer à ceux qui doutent.


Traduction :
La Suède et ses jolies blondes, ses descendants des Vikings, son cuistot … ajoutons autre chose à cette liste : la Suède mérite maintenant le titre de «capitale du viol de l’Europe».
La société suédoise a toujours eu la réputation d’être harmonieuse et libérale. Cette image a été balayée tandis que le nombre des violeurs atteint des sommets depuis ces cinq dernières années.
Pendant ce temps, un bouleversement historique s’est produit quant à la démographie. Ce pays, par rapport à sa population, est celui de tous les États occidentaux à l’échelle mondiale qui a accueilli le plus d’immigrés de culture islamique.
Cette immigration a débouché sur un choc des cultures qui se traduit par des enclaves dans la société suédoise.
Voici Annika Henry Frosty. Elle est journaliste et suédoise et elle a attentivement suivi la migration en provenance du Moyen Orient.
La journaliste : Nous avons une culture suédoise dans laquelle, l’année dernière, nous avons laissé entrer environ 190.000 personnes qui proviennent d’une culture très différente. Cette culture n’est pas libérale, elle a des us et coutumes radicalement différents des nôtres quant aux femmes, la sexualité, le genre etc. C’est un choc frontal, une explosion.
L’individu noir interrogé dans la rue : il y aura des conflits.
Le journaliste : nous sommes à Rinkeby, une banlieue dans le nord de Stockholm. Et nous sommes dans une zone totalement islamique. La police déclare que « c’est une zone qui leur est interdite à eux-mêmes ainsi qu’aux journalistes ».
Les images montrent un homme jetant des pierres à un journaliste.
Le commentaire : « un groupe de journalistes australiens a été attaqué durant le tournage de leur reportage».
La journaliste Annika : « si vous voulez entrer et prospérer dans une culture, vous devez vous y adapter. Ce que [les migrants] font en Europe est l’exact opposé. Les migrants répondent « comment voulez-vous qu’on s’adapte à votre culture?»
Le passant : question posée par le journaliste « pensez-vous que c’est à la Suède de s’adapter à la culture entrante ?»
Réponse du passant « absolument ».
Autre passant : question posée : « est-ce important pour vous qu’une femme vienne ici disons, habillé modestement, pantalon et bras couverts?»
Réponse du passant : « c’est notre culture ».
Un autre passant : « si vous venez à Rinkeby, à l’évidence, dans toute la Suède il y a un code vestimentaire».
Un autre passant : « j’ai fréquenté une suédoise. Elle a peur quand je viens à Rinkeby ».
Le journaliste : « c’est dangereux [de venir ici] ? » Le passant « ah oui, des fois c’est dangereux ».
Le journaliste : nous avons pu voir à quel point cela peut être dangereux. Alors que nous filmions un coin de la banlieue, cinq hommes nous ont abordés et nous ont demandé de partir. Alors que mon équipe s’en allait, j’ai simplement demandé la raison pour laquelle nous devions partir. Toujours sur le qui-vive, j’ai pu enregistrer le son :
— Bonjour. Pourquoi est-ce un problème de filmer ici ?
— Je ne veux pas être filmé.
— Quel est le …
— Je ne veux pas être filmé.
— Mais pourquoi ?
Un inconnu :
— Montrez, je veux voir !
On entend de l’arabe.
— Montrez moi
Le journaliste :
— Je ne fais rien du tout.
On peut entendre que la situation se gâte et que le journaliste (ou son matériel) est brutalisé.
L’inconnu sur un ton agressif :