UN COUPLE DE POLICIERS DU 93
TABASSÉ DEVANT LEUR FILLE DE TROIS ANS.
Nous devons demander la «tolérance zéro»
et une réorganisation de la police.
Il nous faut un audit de la France.**
Article sur l'agression plus bas ***
Je suppose que Gérard Collomb, Macron et Philippe vont nous promettre une fois de plus de remédier à tout ceci.
Il y a des solutions rapides et efficaces. Le Conseil National de Transition propose un audit** de la France, donc de la police. Pas besoin de gros moyens. Qui mieux que les policiers eux-mêmes peuvent décrire l'état actuel des locaux, du matériel et savoir quelles solutions y apporter.
De plus, nous, le peuple devons soutenir la police, même s'il y a, comme partout, quelques crétins parmi eux. Leur collègues les mettront au pas quand ils se sentiront soutenus, alors qu’actuellement ces crétins sont protégés par des supérieurs aux ordres, des francs-maçons de l'état voyou.
Dans les médias on entend sans cesse "il leur faut plus de moyens" comme si c'était La solution. Une bonne réorganisation est bien plus efficace.
Extrait de "Management public et tolérance zéro", dont le lien se trouve en fin d'article
"Les expériences étrangères ont montré que des principes simples d’emploi des forces de l’ordre - ce que l’on a appelé la tolérance zéro - ont une très grande efficacité dans la lutte contre dans la délinquance. La France, depuis 1997, a par ailleurs donné une véritable priorité budgétaire aux forces de l’ordre sur la plupart des autres actions de l’État (hormis l’Éducation nationale). On aurait pu penser qu’en s’appuyant sur ces moyens en augmentation et sur l’expérience des pays comparables, la France enregistrerait des succès dans la lutte contre l’insécurité. Or, c’est le contraire qui a été constaté : l’insécurité s’est fortement aggravée depuis 1997 ; le rythme d’augmentation de la délinquance a connu une nouvelle accélération en 2000 et 2001 et se rapproche désormais de 10 % en moyenne annuelle. La raison de ce paradoxe est que la France, malgré quelques déclarations politiques, n’a jamais mis en place une politique de tolérance zéro. Cette réticence à appliquer des recettes qui ont pourtant montré leur efficacité a plusieurs causes : une politique pénale fortement orientée vers la réduction des incarcérations ; des réticences d’ordre idéologique à accepter une politique répressive ; mais surtout un grave défaut de management qui a empêché les gestionnaires publics de donner la priorité à l’efficacité des services et les a conduit à accorder une trop grande importance aux revendications corporatistes et au conservatisme syndical. Du fait de cette déficience du management public, les forces de l’ordre restent mal réparties sur le territoire et entre leurs différentes missions, n’ont pas toujours de priorités claires et ne font pas l’objet d’un contrôle de gestion suffisant. La réforme de la police de proximité, engagée en lieu et place de la tolérance zéro, a accru la visibilité des forces de police, du moins pendant le jour, mais n’a pas su améliorer leur efficacité ni résoudre ses propres contradictions."
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