VATICAN - L’ÉVÊQUE ZENTI EMBRASSE SON PRÊTRE DIOCÉSAIN
QUI « ÉPOUSE » SON PARTENAIRE HOMOSEXUEL !
Décidément l’Église conciliaire n’en finit pas d’aller de scandales moraux en scandales arc-en-ciel dans le silence assourdissant du Vatican.
Le Pape François a du travail, mais il doit faire profil bas pour ne pas être assassiné comme un collègue.*
Le prêtre Don Giuliano Costalunga, ex-curé de Selva di Progno en Italie, a « épousé » en Espagne un homme en avril et fait depuis quelques jours la Une de certains journaux italiens dont l’immanquable La Repubblica de l’ami du pape Eugenio Scalfari. Depuis des années la vie scandaleuse du curé se perpétrait sous les yeux des fidèles sans qu’intervienne l’évêque, Giuseppe Zenti jusqu’à ce que don Costalunga abandonne le ministère sacerdotal en février pour aller « se marier ».
Abandonne est un bien grand mot puisque sur La Repubblica, le prêtre défroqué explique qu’il va continuer à « célébrer » la messe dans sa maison en Espagne. L’histoire sacrilège ne s’arrête pourtant pas là. Mgr Zenti a expliqué que don Giuliano est encore un de ses prêtres et qu’il n’a pas le droit de le juger parce que seul Dieu scrute les cœurs ! Comme l’a souligné fort justement un de ses confrères épiscopal « quand un prêtre commet un acte pédophile alors peut-on dire qu’on peut ne pas le juger ? »
Mais que Don Giuliano commette des actes immoraux et contre-nature, ait une vie publiquement scandaleuse, semble ne pas gêner Mgr Zenti. Quant au pape François il n’a donné aucun entretien pour dénoncer cette affaire à son ami Scalfari, qui lui ouvre facilement pourtant ses colonnes médiatiques.
Silence. Circulez il n’y a rien à voir. A croire que seuls les « rigides, toujours enfermées dans la Loi, qui condamnent tout ce qui est hors de cette Loi » ont droit aux foudres bergogliennes.
L’homohérésie ainsi que l’immoralité relativiste sont en train de devenir les deux piliers de l’Église conciliaire !
Francesca de Villasmundo sur Media Presse
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La mort du Pape Albino Luciani fut-elle naturelle ? Certainement pas, affirme David Yallop. Extrait de "Le Pape doit mourir : Enquête sur la mort suspecte de Jean-Paul Ier"
Des rumeurs circulèrent dans le village du Vatican. On raconta que la lampe de la sonnette sur le panneau de contrôle dans les appartements pontificaux était restée allumée toute la nuit et que personne n’avait répondu à cet appel au secours. On raconta que l’on avait découvert des traces de vomissure dans la chambre qui avaient taché divers objets et que c’était la raison de la disparition des lunettes et des pantoufles. Les vomissements constituent souvent l’un des premiers symptômes d’une trop forte dose de digitaline.
Des groupes d’évêques et de prêtres se pressaient dans les bureaux et rappelaient le curieux incident de la mort tragique et subite de Nikodem, archevêque russe orthodoxe de Léningrad. Il avait été reçu en audience spéciale par Luciani le 5 septembre. Soudain, sans prévenir, le prélat russe de 49 ans s’était effondré en avant dans son fauteuil. Quelques instants après, il était mort. On disait maintenant dans les couloirs du Vatican que Nikodem avait bu une tasse de café préparée pour Albino Luciani. Nikodem ne jouissait pas d’une santé solide et avait déjà subi un certain nombre d’attaques cardiaques. Dans l’État-Cité, encore apeuré, on avait rejeté ces faits; mais cette mort prenait rétrospectivement les allures d’un signe, d’un avertissement à propos des événements redoutables qui venaient de se passer dans les appartements pontificaux.
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