samedi 17 décembre 2022

Quelle plus merveilleuse forme d’esclavage contemporaine que les diplômes.





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Charles 13:08
Publication de l'utilisateur
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La-Famille Ackermann
hier à 15:47
Voici Le monde uni de Tartaria
La grande réinitialisation 1811-1812

Quelle plus merveilleuse forme d’esclavage contemporaine que les diplômes.

-Ils permettent de définir qui peut s’exprimer ou non sur certain sujet en fonction bien sur du diplôme obtenu.

-Ils nous disent qui est intelligents ou qui ne l’est pas.


-Ils nous disent qui croire ou non

-Ils favorisent la dichotomie sociétale, avec les élites (les diplômés) et la plèbe (les non diplômés)

-Ils donnent accès à un métier plus ou moins qualitatif, en fonction du diplôme obtenu.

-Si lés médias ont besoin de faire passer un message, ils choisiront toujours celui qui fait office de référence dans sa sphère professionnelle, en fonction du diplôme et du poste qu’il occupe et non celui qui est le plus compétent.

-A diplôme égal, la médiatisation d’un individu par rapport à un autre se fera toujours sur celui qui se rapprochera le plus du narratif officiel, c’est à dire celui choisi par les états.

Bref vous l’aurez compris par ces quelques exemples, le diplôme codifie la matrice d’esclavage dans laquelle nous évoluons.

Voilà pourquoi ce cher John D Rockefeller, avait compris qu’il fallait contrôler le système éducatif.

Dès 1902, il créa donc le conseil pour l’éducation.

Il finança les universités (il créa même, l’université de Chicago)puis entrepris de distiller des connaissances liées aux narratifs nécessaires pour développer son empire, sans que les futurs diplômés de ses universités, puissent nuire à ces affaires dans leur avenir post-diplôme.

Entre 1910 et 1920, associé à la fondation Carnegie, La fondation Rockefeller commença a prendre aussi le contrôle de l’histoire.

En 1920 naquit le conseil pour l’histoire.

La plus belle réussite du contrôle historique par les élites, est d’avoir fait croire à l’évolution Darwinienne.

Au moment même ou nous écrivons ces quelques mots, la quasi totalité de la population du monde connu est persuadée que nous vivons dans l’époque la plus évoluée technologiquement depuis la création de celui-ci.

Les milliers de musées et autres instituts culturels érigés dans le monde, comprenant des milliards de faux artefacts, attestants de la véracité de l’histoire telle qu’elle est expliquée aux populations, sont financés par les élites dans le but unique de faire taire les quelques récalcitrants, qui pourraient remettre en question ces fausses évidences.

Le big Bang, les dinosaures, l’homme préhistorique et ses silex pour faire son feu, les civilisations antiques, les guerres intestines des petits chefs de clans, les grandes dynasties, l’émergence des nations et enfin le monde « moderne » voilà globalement les jalons historiques (dont les couleurs varient un peu selon les lieux géographiques) avec lesquels nous avons tous été abreuvés.

Une fois cette matrice historique définie, le travail des états et des élites n’a qu’un seul objectif, maintenir cette trame narrative et la transformée en une vérité absolue.

C’est d’ailleurs une quasi parfaite réussite ; Oui mais voilà, un groupe d’irréductibles chercheurs de vérités résiste encore et toujours à l’envahisseur.

Des milliers de personnes, envoyés par nos ancêtres réfugiés après la grande guerre dans les terres de l’autres côté du mur de glace, se sont infiltrés dans tous les rouages de notre société et notamment dans les universités pour distiller parcimonieusement des vérités historiques.

Lentement, très progressivement, échec après échec, déclassification après déclassification, ils ont réussi en plus de 250 ans à convaincre certain individu de la véracité de leur propos.

Ce plan que vous connaissez sous le nom de « grand réveil » ou simplement par la 17 ème lettre de l’alphabet Q à pour but la libération de notre monde.

La grande Tartaria, dont nous allons vous conter le livre intitulé « the one world Tartarians » est un booster de pilule rouge.

En écoutant ces chroniques historiques que nous vous proposons, gardez à l’esprit que des milliers de personnes sont mortes et certaine torturées dans les pires conditions, pour nous mettre à disposition ces archives.

Prenons notre pilule rouge et enfonçons nous dans le terrier du lapin blanc en remontant le temps, à la découverte de notre véritable histoire : Le monde uni de Tartaria

Bonne écoute
Cyril, Pascale, Morgan et Capucine.













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Sans titre
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