mercredi 27 juin 2018

LA DGSI AVOUE : EN ARRÊTANT DIX PATRIOTES, ELLE A VOULU PROTÉGER DES IMAMS RADICAUX.

LA DGSI AVOUE : EN ARRÊTANT DIX PATRIOTES, 
ELLE A VOULU PROTÉGER DES IMAMS RADICAUX. 


Gérard Collomb. OUT !
Rappel : Gérard Collomb; le héro, est arrivé pour arrêter les gentils et ainsi préserver nos ennemis!

Il faut toujours se méfier quand nos élite arrêtent de soit-disant terroristes. Les terroristes, ils les laissent filer, ça peut servir.
Arrestation de 10 personnes soupçonnées de préparer des attentats anti-musulmans en France

Curieusement, le sujet n’a encore effleuré aucun des centaines de journaleux, et leurs invités bidons, qui, depuis dimanche, martèlent en boucle que les dix nationalistes de l’ultra-droite qui voulaient passer à l’action visaient, entre autres, des imams radicaux.


Et pourtant, un journaliste digne de ce nom aurait pu poser juste une question : « Ah bon, il reste des imams radicaux en France, et Collomb les laisse en liberté ? ».
Un autre journaliste, s’il avait osé être insolent, aurait même pu poser une deuxième question : « le ministre de l’Intérieur ne se rend-il pas coupable de non-assistance à personnes en danger » ?
D’autres esprits curieux pourraient s’interroger. Pourquoi avoir arrêté ces hommes un samedi soir, alors qu’ils étaient en famille, ou chez des amis ? Ne serait-ce pas pour allumer un contre-feu, suite aux ennuis de Macron, ridiculisé par sa fête élyséenne et l’expression « lèpre populiste » ?
Ils pourraient également se demander pourquoi la DGSI convoque des fichés S musulmans par courrier, et pourquoi elle colle quinze ninjas pour arrêter un paisible retraité, et faire le parallèle avec les grotesques moyens mis en œuvre pour arrêter la trésorière de Vigilance Halal, quelques mois plus tôt.
Ils pourraient même poser des questions sur la détention, depuis un an, du jeune Logan Nisin, soupçonné d’avoir préparé un attentat contre Mélenchon, alors que même Collomb a avoué que le dossier était pratiquement vide. 
Ils pourraient aussi se poser des questions sur le fait que pas un attentat, ni aucun acte de violence, n’a été commis, en France, depuis des dizaines d’années, alors que toutes les violences viennent de l’extrême gauche et des islamistes…
Mais nos vaillants journalistes, et leurs invités serviles, ne font que relayer ce qu’on leur demande de dire : « L’ultra droite est violente, elle veut faire parler la poudre, ils osent prétendre que l’islam est une menace, il y a plein de policiers chez eux, et bien sûr, il fallu arrêter un des dix au restaurant, car il se préparait à passer à l’action… »

Il y a donc des imams radicaux en liberté !
Cet aveu, effectué par la bouche des vaillants enquêteurs de la DGSI (fiers de vous, les gars ?) pose juste une question. Si, après les attentats de 2015 et ceux qui ont suivi, il demeure, en France, des imams radicaux (au fait, c’est quoi, un imam modéré ?), que doit faire le gouvernement ? Les expulser ? Les emprisonner ? Les faire abattre par des services spécialisés ? C’est justement parce que ce travail n’est pas effectué, que forcément, dans le but de se protéger, certains commencent à prendre des dispositions, pour se protéger, eux et leur famille, des fois que… On peut partager ou pas cette réaction, elle est inévitable.

Faut-il ajouter que tous les imams présents sur le territoire français sont des taupes de l’islam, et n’ont qu’une mission : transformer la France en terre musulmane, comme le leur réclament les textes sacrés.

En tout cas, la DGSI est toujours dans la ligne de Patrick Calvar, qui, en 2016, à l’Assemblée nationale, avait estimé que le principal péril qui menaçait les Français et leur sécurité serait l’ultra-droite. Le même Calvar, qui ne paraît pas préoccupé par le surarmement des banlieues islamisées, avait même exprimé sa volonté de désarmer un maximum de Français, ce qui d’ailleurs est en train de se mettre en place.