comment la mafia khazarienne et la CIA ont orchestré un chaos mondial – Les secrets de leur alliance !
Dans les couloirs obscurs du pouvoir mondial, un complot en gestation depuis des siècles se déroule, projetant son ombre sinistre sur notre monde. Les acteurs : la mafia Khazar, un groupe clandestin de manipulateurs mondiaux se faisant passer pour des dirigeants bienveillants, et la CIA, leurs loyaux exécutants, orchestrant une symphonie de chaos qui ne sert que leurs intérêts diaboliques.
Ensemble, ils forment une alliance incassable, responsable de certains des événements les plus catastrophiques de l’histoire moderne, dont les empreintes sont invisibles mais indélébiles.
Les racines de ce partenariat diabolique remontent à l’émergence des Rothschild et de leurs semblables, ces soi-disant intendants de la finance mondiale dont les ancêtres ne remontent pas aux anciennes tribus d’Israël mais à l’empire Khazar. Ces Khazariens ont adopté l’identité juive pour dissimuler leurs ambitions plus larges, infiltrant les sociétés et les économies à travers l’Europe, et finalement dans le monde, jetant les bases de siècles de manipulation.
Avance rapide jusqu’au 20e siècle, et la création de la CIA en 1947 dans le cadre de la loi sur la sécurité nationale est devenue le catalyseur du contrôle mondial. La CIA, apparemment une entité de collecte de renseignements, s’est rapidement transformée en bras armé de la mafia Khazarienne.
De l’orchestration de coups d’État en Iran et au Chili à leur implication obscure dans la guerre du Vietnam et dans les moments les plus sombres de la guerre froide, les opérations de la CIA ont constamment déstabilisé des régions, renversant des gouvernements et installant des dirigeants fantoches soumis à leur cause.
Les attentats du 11 septembre – un moment charnière dans l’histoire américaine – sont un excellent exemple de cette sombre synergie à l’œuvre. Bien qu’officiellement attribuée aux terroristes, une analyse plus approfondie suggère que cette tragédie était non seulement prévisible mais facilitée à plusieurs niveaux par des éléments de la communauté du renseignement américain, agissant sous l’influence de la mafia khazare.
La « guerre contre le terrorisme » qui a suivi n’était pas une réponse mais une orchestration pré-planifiée pour justifier les interventions militaires au Moyen-Orient, sécuriser les ressources pétrolières et étendre leur portée géopolitique.
La crise financière de 2008 illustre encore une fois leur emprise sur la finance mondiale. Orchestrée par des responsables de haut rang au sein de grandes institutions financières – dont beaucoup sont des marionnettes de la mafia Khazar – cette crise a été conçue pour consolider la richesse et le pouvoir. Le sauvetage des banques par les contribuables était une mesure stratégique visant à garantir que le public supporte le fardeau financier tandis que l’élite prospère.
Entre Donald Trump, un personnage qui, quelles que soient ses opinions personnelles, est apparu comme une véritable menace pour ce gouvernement fantôme. Sa présidence a perturbé cet agenda mondialiste, révélant une corruption profondément enracinée au sein du gouvernement américain et de ses institutions.
L’approche de Trump et sa communication directe avec le public via des plateformes comme Twitter ont contourné les médias traditionnels, qui étaient depuis longtemps sous l’influence des intérêts khazariens.
Les tentatives de Trump de retirer ses troupes des conflits étrangers sans fin et sa confrontation avec la Réserve fédérale visaient à démanteler les mécanismes par lesquels la mafia khazarienne exerçait son contrôle. L’accent mis par son administration sur le nationalisme économique menaçait de bouleverser l’ordre économique mondial que les Khazarians avaient méticuleusement élaboré au fil des décennies.
Malgré les attaques incessantes et le scandale orchestré des procédures de destitution, le mandat de Trump a révélé l’étendue de l’infiltration de l’État profond. Les résultats controversés des élections de 2020 et la censure sans précédent des médias et des plateformes sociales ont mis en évidence les efforts désespérés déployés par la mafia Khazar et ses agents pour reprendre le contrôle.
Alors que nous nous trouvons à la croisée des chemins, la bataille n’est pas seulement politique mais existentielle. La mafia Khazarienne, alliée à la CIA et à d’autres entités mondialistes, continue de manipuler les événements mondiaux, des pandémies aux effondrements économiques, pour faire avancer son programme de domination mondiale totale. Mais à mesure que la prise de conscience grandit, la résistance grandit également.
Des personnalités comme Trump ont déclenché un réveil mondial, mettant les citoyens du monde entier au défi de récupérer leur souveraineté et de restaurer la vérité et la justice à la place qui leur revient, au cœur de la gouvernance humaine. Il ne s’agit pas seulement d’un combat pour une nation mais pour l’avenir de l’humanité elle-même.
Dans les couloirs obscurs du pouvoir mondial, un complot en gestation depuis des siècles se déroule, projetant son ombre sinistre sur notre monde. Les acteurs : la mafia Khazar, un groupe clandestin de manipulateurs mondiaux se faisant passer pour des dirigeants bienveillants, et la CIA, leurs loyaux exécutants, orchestrant une symphonie de chaos qui ne sert que leurs intérêts diaboliques.
Ensemble, ils forment une alliance incassable, responsable de certains des événements les plus catastrophiques de l’histoire moderne, dont les empreintes sont invisibles mais indélébiles.
Les racines de ce partenariat diabolique remontent à l’émergence des Rothschild et de leurs semblables, ces soi-disant intendants de la finance mondiale dont les ancêtres ne remontent pas aux anciennes tribus d’Israël mais à l’empire Khazar. Ces Khazariens ont adopté l’identité juive pour dissimuler leurs ambitions plus larges, infiltrant les sociétés et les économies à travers l’Europe, et finalement dans le monde, jetant les bases de siècles de manipulation.
Avance rapide jusqu’au 20e siècle, et la création de la CIA en 1947 dans le cadre de la loi sur la sécurité nationale est devenue le catalyseur du contrôle mondial. La CIA, apparemment une entité de collecte de renseignements, s’est rapidement transformée en bras armé de la mafia Khazarienne.
De l’orchestration de coups d’État en Iran et au Chili à leur implication obscure dans la guerre du Vietnam et dans les moments les plus sombres de la guerre froide, les opérations de la CIA ont constamment déstabilisé des régions, renversant des gouvernements et installant des dirigeants fantoches soumis à leur cause.
Les attentats du 11 septembre – un moment charnière dans l’histoire américaine – sont un excellent exemple de cette sombre synergie à l’œuvre. Bien qu’officiellement attribuée aux terroristes, une analyse plus approfondie suggère que cette tragédie était non seulement prévisible mais facilitée à plusieurs niveaux par des éléments de la communauté du renseignement américain, agissant sous l’influence de la mafia khazare.
La « guerre contre le terrorisme » qui a suivi n’était pas une réponse mais une orchestration pré-planifiée pour justifier les interventions militaires au Moyen-Orient, sécuriser les ressources pétrolières et étendre leur portée géopolitique.
La crise financière de 2008 illustre encore une fois leur emprise sur la finance mondiale. Orchestrée par des responsables de haut rang au sein de grandes institutions financières – dont beaucoup sont des marionnettes de la mafia Khazar – cette crise a été conçue pour consolider la richesse et le pouvoir. Le sauvetage des banques par les contribuables était une mesure stratégique visant à garantir que le public supporte le fardeau financier tandis que l’élite prospère.
Entre Donald Trump, un personnage qui, quelles que soient ses opinions personnelles, est apparu comme une véritable menace pour ce gouvernement fantôme. Sa présidence a perturbé cet agenda mondialiste, révélant une corruption profondément enracinée au sein du gouvernement américain et de ses institutions.
L’approche de Trump et sa communication directe avec le public via des plateformes comme Twitter ont contourné les médias traditionnels, qui étaient depuis longtemps sous l’influence des intérêts khazariens.
Les tentatives de Trump de retirer ses troupes des conflits étrangers sans fin et sa confrontation avec la Réserve fédérale visaient à démanteler les mécanismes par lesquels la mafia khazarienne exerçait son contrôle. L’accent mis par son administration sur le nationalisme économique menaçait de bouleverser l’ordre économique mondial que les Khazarians avaient méticuleusement élaboré au fil des décennies.
Malgré les attaques incessantes et le scandale orchestré des procédures de destitution, le mandat de Trump a révélé l’étendue de l’infiltration de l’État profond. Les résultats controversés des élections de 2020 et la censure sans précédent des médias et des plateformes sociales ont mis en évidence les efforts désespérés déployés par la mafia Khazar et ses agents pour reprendre le contrôle.
Alors que nous nous trouvons à la croisée des chemins, la bataille n’est pas seulement politique mais existentielle. La mafia Khazarienne, alliée à la CIA et à d’autres entités mondialistes, continue de manipuler les événements mondiaux, des pandémies aux effondrements économiques, pour faire avancer son programme de domination mondiale totale. Mais à mesure que la prise de conscience grandit, la résistance grandit également.
Des personnalités comme Trump ont déclenché un réveil mondial, mettant les citoyens du monde entier au défi de récupérer leur souveraineté et de restaurer la vérité et la justice à la place qui leur revient, au cœur de la gouvernance humaine. Il ne s’agit pas seulement d’un combat pour une nation mais pour l’avenir de l’humanité elle-même.
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