Lorsque "l’État Profond" provoque l’ouverture de l’abysse !
La Russie met en garde contre "l’ouverture de l’abysse" alors que "l’État Profond" protège les terroristes d’ISIS qui s’enfuient vers l’Arabie Saoudite !
Un rapport du Ministère de la Défense (MOD) phrasé gravement et circulant au Kremlin avertit que "l’État Profond" américain vient"d’ouvrir l’abysse du chaos" en dirigeant ses éléments loyaux au sein de l’armée américaine pour commencer à fournir une protection aérienne pour les terroristes d’ISIS fuyant les champs de bataille syriens,
et que les éléments de "l’État Profond" alignés au sein de la CIA, s’acheminent rapidement vers l’Arabie Saoudite (où près de 4000 sont déjà rentrés) et qui devraient bientôt déclencher une guerre civile sanglante pour évincer du pouvoir le prince héritier Mohammed bin Salman.
Selon ce rapport, moins de 72 heures après que le président Vladimir Poutine et le président Donald Trump aient accepté de maintenir les liens de communications militaires existants entre les forces armées américaines et russes afin d’éviter des incidents dangereux impliquant la destruction finale des forces terroristes d’ISIS, les forces militaires des États-Unis alignées avec "l’État Profond" ont refusé de mener des frappes aériennes contre, au moins 3000 de ces terroristes qui fuyaient la ville syrienne d’Abu Kamal, avec ces forces américaines prétendant alors d’une manière absurde que ces barbares islamiques radicaux fuyant avec leurs vastes arsenaux d’armes et de véhicules blindés "se rendaient volontairement" et qu’ils relevaient maintenant sous les dispositions de la Convention de Genève sur le traitement des prisonniers de guerre.
Dans ce rapport, le MOD note que cette action choquante des États-Unis dans la protection de ces terroristes prouve que l’avancement des forces syriennes dans la région d’Abu-Kamal avait paralysé les plans américains visant à créer une zone à l’est de l’Euphrate contrôlée par les forces pro-américaines plutôt que pour Damas, et que les Américains, eux aussi, s’étaient dirigés vers des milliers de terroristes d’ISIS qui fuyaient Raqqa, qui bénéficiaient d’une protection étonnante en vertu d’un accord secret qu’ils avaient signé avec les Américains.
Ce rapport poursuit qu’au même moment où les États-Unis protégeaient ces terroristes barbares d’ISIS d’être effacés, le Secrétaire à la Défense des États-Unis, James Mattis, a bizarrement déclaré que les Américains n’avaient nullement l’intention de quitter la Syrie tant qu’ISIS voudrait combattre, ce qui est impossible à faire quand les États-Unis ne les combattent pas, protègent leurs convois armés et signent des accords secrets leur permettant de fuir le champ de bataille sans dommage ; Le général Mattis affirmait en outre que Washington a reçu un mandat d’opérer en Syrie pendant aussi longtemps que l’ONU elle-même, avec le problème étant que l’ONU n’a jamais fait une telle chose puisqu’elle n’a même pas la capacité juridique de le faire.
Les Américains ont néanmoins construit illégalement 13 bases militaires américaines en Syrie afin d’accomplir ce que le Ministre des Affaires Étrangères de la Russie, Sergueï Lavrov, appelle des "raisons inconnues", parce que les États-Unis ne veulent manifestement pas combattre l’État Islamique, avec l’avertissement supplémentaire que la présence illégale des Américains alignés avec "l’État Profond" en Syrie est en totale violation avec la Convention de Genève.
Selon ce rapport, moins de 72 heures après que le président Vladimir Poutine et le président Donald Trump aient accepté de maintenir les liens de communications militaires existants entre les forces armées américaines et russes afin d’éviter des incidents dangereux impliquant la destruction finale des forces terroristes d’ISIS, les forces militaires des États-Unis alignées avec "l’État Profond" ont refusé de mener des frappes aériennes contre, au moins 3000 de ces terroristes qui fuyaient la ville syrienne d’Abu Kamal, avec ces forces américaines prétendant alors d’une manière absurde que ces barbares islamiques radicaux fuyant avec leurs vastes arsenaux d’armes et de véhicules blindés "se rendaient volontairement" et qu’ils relevaient maintenant sous les dispositions de la Convention de Genève sur le traitement des prisonniers de guerre.
Dans ce rapport, le MOD note que cette action choquante des États-Unis dans la protection de ces terroristes prouve que l’avancement des forces syriennes dans la région d’Abu-Kamal avait paralysé les plans américains visant à créer une zone à l’est de l’Euphrate contrôlée par les forces pro-américaines plutôt que pour Damas, et que les Américains, eux aussi, s’étaient dirigés vers des milliers de terroristes d’ISIS qui fuyaient Raqqa, qui bénéficiaient d’une protection étonnante en vertu d’un accord secret qu’ils avaient signé avec les Américains.
Ce rapport poursuit qu’au même moment où les États-Unis protégeaient ces terroristes barbares d’ISIS d’être effacés, le Secrétaire à la Défense des États-Unis, James Mattis, a bizarrement déclaré que les Américains n’avaient nullement l’intention de quitter la Syrie tant qu’ISIS voudrait combattre, ce qui est impossible à faire quand les États-Unis ne les combattent pas, protègent leurs convois armés et signent des accords secrets leur permettant de fuir le champ de bataille sans dommage ; Le général Mattis affirmait en outre que Washington a reçu un mandat d’opérer en Syrie pendant aussi longtemps que l’ONU elle-même, avec le problème étant que l’ONU n’a jamais fait une telle chose puisqu’elle n’a même pas la capacité juridique de le faire.
Les Américains ont néanmoins construit illégalement 13 bases militaires américaines en Syrie afin d’accomplir ce que le Ministre des Affaires Étrangères de la Russie, Sergueï Lavrov, appelle des "raisons inconnues", parce que les États-Unis ne veulent manifestement pas combattre l’État Islamique, avec l’avertissement supplémentaire que la présence illégale des Américains alignés avec "l’État Profond" en Syrie est en totale violation avec la Convention de Genève.
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