Des esclaves dans les colonies spatiales secrètes – 1/2
Révélations sur les esclaves humain dans les colonies spatiales secrètes – 1/2 — L’implication de Siemens dans la production de biopuces RFID !
Siemens impliqué dans la production de biopuces RFID pour suivre les esclaves humains dans le système solaire
Un passé immoral suit la multinationale Siemens, aujourd’hui la plus grande société d’ingénierie d’Europe, qui a aidé les nazis en utilisant le travail des esclaves (dans les camps de concentration) pour fabriquer des armes de pointe pendant la Seconde Guerre mondiale.
L’effondrement du Troisième Reich d’Hitler mit fin à un chapitre sombre du passé de Siemens – selon les historiens conventionnels.
Non, selon les affirmations de deux dénonciateurs dont les témoignages conduisent à une conclusion inquiétante.
Siemens a été impliqué dans la construction secrète de milliards de minuscules puces RFID pour suivre les mouvements d’êtres humains enlevés utilisés comme travail forcé dans des colonies spatiales secrètes et dans la traite des esclaves galactiques.
Le rôle de Siemens pour aider l’Allemagne nazie à fabriquer des armes perfectionnées pour la Seconde Guerre mondiale est bien connu, mais on sait moins bien dans quelle mesure il a participé à l’utilisation de la main-d’œuvre esclave.
Le 24 septembre 1998, Siemens a décidé de commencer à indemniser les victimes de ses anciennes pratiques de travail forcé, comme le décrit le rapport d’Associated Press :
Siemens a annoncé mercredi des plans pour un fonds de 12 millions de dollars pour indemniser les anciens travailleurs esclaves forcés de travailler pour l’entreprise par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale…..
Il y a près d’un an, lors des célébrations de son 150e anniversaire, l’entreprise avait insisté sur le fait qu’elle ne pouvait rien faire de plus pour ses anciens travailleurs esclaves que d’exprimer ses "regrets les plus profonds".
La société munichoise Siemens a déclaré que son fonds s’ajoutait aux 4,3 millions de dollars qu’elle avait versés à la Conférence sur les revendications juives en 1961 et à l’aide humanitaire aux victimes.
Siemens estime qu’entre 10.000 et 20.000 travailleurs esclaves ont travaillé dans ses usines en temps de guerre.
Le rôle de Siemens dans la reconnaissance du recours à l’esclavage en temps de guerre et des efforts déployés pour indemniser les victimes est louable.
Toutefois, cette reconnaissance est intervenue quarante ans après les événements en question, ce qui soulève des questions troublantes quant à savoir si la compagnie était sincère ou simplement désireuse d’éviter les recours collectifs alors en cours aux États-Unis :
La menace de poursuites judiciaires a accru la pression exercée sur les entreprises allemandes pour qu’elles paient des créances directes aux milliers de prisonniers des camps de concentration, pour la plupart juifs, forcés de travailler dans leurs usines.
Les avocats représentant les anciens travailleurs esclaves ont critiqué Siemens, comme ils l’ont fait Volkswagen, pour avoir mis en place un fonds pour éviter des paiements plus importants qu’une action en justice pourrait exiger.
Siemens cherche "l’alternative la moins chère", a déclaré le procureur de Munich Michael Witti, qui avec un collègue a déposé le procès américain.
Les lecteurs pourraient être pardonnés d’avoir cru que la rémunération des anciens travailleurs esclaves est une question associée à un chapitre terrible de notre histoire récente.
Toutefois, il existe des témoignages de dénonciateurs selon lesquels de telles pratiques se poursuivent et Siemens est toujours impliquée.
William Pawelec était un expert en opérations informatiques et en programmation à l’USAF, qui a démarré sa propre société de sécurité électronique, et a travaillé pour des entrepreneurs américains de haut niveau dans le domaine de la défense tels que SAIC et EG&G.
Il a reçu des habilitations de sécurité de haut niveau et a eu accès à de nombreux projets classifiés.
Avant 2001, Pawelec a décidé de révéler ce qu’il savait des projets noirs profonds qui, selon lui, cachaient des technologies avancées du public américain.
Il a donné une entrevue au Dr Steven Greer avec l’instruction stricte qu’elle ne serait publiée qu’après sa mort.
Il est décédé le 22 mai 2007 et la vidéo a été publiée à titre posthume le 14 décembre 2010.
Parmi ses nombreuses révélations figurent des informations concernant le développement des premières puces électroniques de suivi RFID qui ont été développées dès 1979 selon Pawelec.
Il a expliqué l’histoire de leur développement et le rôle joué par sa société basée à Denver dans l’organisation de réunions avec des agences gouvernementales intéressées par l’utilisation des puces à des fins de sécurité.
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